Amélie
- edithrchd
- 11 déc. 2021
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 28 mars 2022
Février 2019
Souvenir d'un stage en restaurant gastronomique que j'ai fait en février 2019. Chacun·e décompresse comme iel peut. Aucune employée n'a été maltraitée pendant l'écriture de ce texte. (Sauf moi bien sûr).
Je trime 200 h par mois pour pas un radis
Tu me prend le chou sur comment je positionne mes radis
Du volume tu dis, du VOLUME
On verra le volume de ta tête
Quand j'y aurai collé une enclume
Tu te fait pourrir alors tu décompresse
Tu me casse les couilles pour que je me presse
Lâche moi la grappe meuf, et éloigne toi du pressoir
Ou je t'assure qu'on aura la vinasse pour ce soir
T'as un problème ou quoi ?
Tu veux qu'on se batte ?
Laisse moi d'abord t'attendrir
A grand coup de batte
Tu m’appelais l'autre mais l'autre elle est là
Et toi t'es où ? J’espère dans l'au-delà
Casserole ou du caniveau,
Comme un rat ou comme un veau
En tout cas t'es faite et moi j'suis refaite
(Et c'est la fête) quand t'es pas là
Tu me fais chier mais méfie toi
Passe pas trop près de moi
Sinon je te prend
J'te Brûle tes plumes au chalumeau
Déjà tu m'mau-
dis mais attend la suite baby
J'te coupe la tête et les pattes
J'en garde une pour le bouillon
J'prend tes cuisses et j'les manchonne
En te coupant les tendons
Et ouais ! Voilà c'qui se passe quand on m'prend pour un couillon
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